Pour ceux qui ne connaissent pas, il faut d’abord raconter les lieux ;
Les Giardini où sont dispersés les pavillons de différents pays (construits dans les années 1910/ 1920), utilisés tant pour la biennale d’architecture que d’art, et l’Arsenale avec sa corderie, qui offre des espaces hors mesure dans une atmosphère entre ruines et réhabilitation. Tous les ans, pour notre bonheur, l’Arsenale s’enrichit de nouvelles parcelles gagnées sur la friche de bâtiments encore innocupés.
Donc, la succession des biennales sont des rituels qui comptent autant par les lieux que par ce qui est montré. Lire la suite de l’article »