Pour la énième fois, quelqu’un se pose la question du mot design. (1)
Pour la énième fois, on essaie de débattre entre futilité et efficacité.
Pour la énième fois, on parle du design comme s’il n’était que le fait des designers.
Quand acceptera-t-on la diversité, la pluralité de ce métier ou tout du moins de cette “activité’’. Qu’est ce que cela peut faire qu’il y ait des designers décorateurs, des branchés, des théoriciens, des gourous, des visionnaires, des “plancheurs’’ de bureaux d’étude, des asservis du marketing, des nombrilistes, des “people’’…?